item Item : Baile do roda _003_02

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Value
identifier 
http://archives.crem-cnrs.fr/items/74698
identifier 
CNRSMH_I_2018_025_003_02
type 
Sound
title 
Baile do roda
creator 
Rouget, Gilbert
contributor 
Garma-Rouget, Aurélie (déposante)
contributor 
- Collecteur
subject 
Ethnomusicology
subject 
Research
subject 
Pêche
descriptionabstract
[Notes de Sophie Coquelin] 4 Bailes de Roda et Fado maior 1 luth - viola da terra - Manuel Soares de Andrade Voix chantée 1 homme solo - José Pedro Voici 5 pièces différentes: 4 bailes de roda – Sapateia, Caracol, Mangericão et O Bravo, puis un Fado maior. Selon les notes de Rouget, il s’agit de José Pedro et Manuel Soares, enregistrés à Castelo Branco sur l’île de Faial en juillet 1956. La viola da terra est un instrument à cordes pincées qui dérive de la vihuela. Elle est la variante açorienne des nombreuses violas qui existent au Portugal et au Brésil. Sa caisse est en forme de 8 et elle est constituée de 5 jeux de cordes, 3 doubles et 2 triples. La viola da terra peut être jouée rasgada - grattée (rappelant la technique du flamenco ou celle de la chitarra battente) ou ponteada – pointée. Dans cet enregistrement, on peut entendre la technique qui consiste à frapper sur la caisse de résonance. Les bailes de roda sont des danses qui sont aujourd’hui seulement exécutées dans le contexte folklorique. A la différence de la chamarrita, les paroles des bailes de roda sont fixes. Il faut préciser que la façon de chanter de cet homme est peu courante. Sapateia 0.00 – 2.28 Caracol 5.15 – 6.30 A la fin de cette pièce, on entend une voix de femme questionner cet espèce de glissement vocal que réalise le chanteur, ce à quoi il répond que c’est pour aider. On entend clairement à la fin “olé olé”, une des façons de terminer une chamarrita encore aujourd´hui. Mangericão 6.50 - 8.10 O Bravo 8.10 - 9.45 Cette mélodie est aujourd’hui associée à l’île de Terceira où elle est jouée en mode mineur, à la différence de cet exemple, joué en mode majeur. Fado maior 10.50- 13.10 Cette pièce musicale est à rapprocher du fado en mode majeur. Les paroles peuvent être improvisées ou avoir été mémorisées. D’autres exemples de cette pièce ont été enregistrés par Gilbert Rouget, dont une fait partie du vinyle, présent sur la plateforme du CREM (“Je vis un jour une baleine”).
publisher 
None
publisher 
CREM-CNRS
datecreated
1956-07-30T00:00:00Z
coveragespatial
Açores
coveragespatial
Portugal
coveragespatial
Europe méridionale
coveragespatial
Europe
coveragespatial
Castelo Branco
rightslicense
A renseigner
rightsaccessRights
public
formatextent
00:00:00
formatmedium
Bande(s) magnétique(s)
formatMIME type
relationisPartOf
http://archives.crem-cnrs.fr/collections/7659