Item : Jeu de balafon _38
|
Dublin Core Metadata
- identifier
- http://archives.crem-cnrs.fr/items/28563
- identifier
- CNRSMH_E_2004_017_001_38
- type
- Sound
- title
- Jeu de balafon
- creator
- Zemp, Hugo
- contributor
- Lortat-Jacob, Bernard ; Rovsing Olsen, Miriam (contributeurs)
- contributor
- None
- subject
- Ethnomusicology
- subject
- Research
- descriptionabstract
- --> Notice du CD audio p. 563 : «Homme, tu es considéré comme un homme fort», paroles parlées et chantées par Sikaman. À →0’ 06’’, parlées et chantées par Nahoua. À →0’ 12’’, jouées en solo par Nahoua. À →0’17’’, les paroles «Nahoua, fils de Nibontennin, tu es considéré comme un homme fort», parlées une fois et jouées une fois par Nahoua. À →0’27”, démonstration de variations par Nahoua. À →1’10”, autres variations par Dofara Silué, soliste d’un orchestre kpõye de Taléré, lors de funérailles à Taléré. --> Cf. Fig. 3 p. 322 : Sonagrammes des fondamentales (partiels 1) de la phrase :“Homme, tu te prends pour un homme fort”; en haut, parlée et chantée par Sikaman Soro ; en bas, parlée et chantée par Nahoua Silué. --> Cf. Fig. 4 p. 322 : Transcription graphique du jeu de la phrase “Homme, tu te prends pour un homme fort ”, jouée par Nahoua Silué. --> Cf. Fig. 5 p. 322 : Transcription graphique du jeu de la phrase “Nahoua, fils de Nibontennin, tu te prends pour un homme fort”, jouée par Nahoua Silué. --> Cf. article p. 322-323 : "Un balafoniste soliste ne se contente pas de répéter des paroles de très nombreuses fois avant d’enchaîner un autre air, à moins que la répétition même ait un but, par exemple celui d’honorer quelqu’un lors d’un concours de labour ou lors de funérailles. Ainsi, lorsque le soliste de l’orchestre de balafons de Taléré s’est agenouillé devant moi et a joué « Homme, tu te prends pour un homme fort ! », il a répété douze fois ces paroles avec des variantes minimales, interrompues seulement par quelques frappes dans le registre grave [Cf. extrait à partir de 1’10]. Les bons musiciens font des variations, ajoutent des intermèdes improvisés, tout en retrouvant ensuite la parole initiale en accord avec les ostinatos des balafonistes accompagnateurs. Lors d’un entretien filmé, Nahoua Silué a varié les paroles « Homme, tu es considéré comme un homme fort » [Cf. extrait à 0’27] en mettant une fois son propre nom (« Nahoua, fils de Pefungojomon, tu es considéré comme un homme fort »), puis a improvisé une partie sans référence explicite aux paroles [à partir de 0’43], avant de reprendre la variation des paroles [à 0’59]. Les musiciens sont libres de sélectionner certains mots de la phrase, de les enchaîner autrement, ou de s’en écarter complètement". --> Cf. Note 2 p. 314 : Le mot « balafon » désigne en français et en anglais le xylophone à résonateurs d’Afrique occidentale (et quelquefois même d’Afrique centrale). Il vient du malinké bala fo, « xylophone/parler », c’est-à-dire « faire parler le xylophone », autrement dit « jouer du xylophone »...
- publisher
- Département d'ethnomusicologie, CNRS, Musée de l'Homme, Paris
- publisher
- CREM-CNRS
- datecreated
- 1946-01-01T00:00:00Z
- dateissued
- 2004-01-01T00:00:00Z
- coveragespatial
- Côte d'Ivoire
- coveragespatial
- Afrique occidentale
- coveragespatial
- Afrique
- coveragespatial
- Taléré
- rightslicense
- Copie interdite
- rightsaccessRights
- public
- formatextent
- 00:01:58
- formatmedium
- CDR
- formatMIME type
- audio/x-wav
- relationisPartOf
- http://archives.crem-cnrs.fr/collections/1113