item Item : Jeu du xylophone amadinda _31

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Value
identifier 
http://archives.crem-cnrs.fr/items/28560
identifier 
CNRSMH_E_2004_017_001_31
type 
Sound
title 
Jeu du xylophone amadinda
title 
Ssematimba ne Kikwabanga (Toutes les parties)
creator 
Kubik, Gerhard
contributor 
Lortat-Jacob, Bernard ; Rovsing Olsen, Miriam (contributeurs)
contributor 
None
subject 
Ethnomusicology
subject 
Research
descriptionabstract
--> Notice CD audio p. 562 : Ensemble des parties de Ssematimba ne Kikwabanga et ses inherent patterns. --> Cf. Fig. 3 p. 265 : Transcription de la composition Ssematimba ne Kikwabanga – plages 31 et 32 – comprenant deux inherent patterns, plus ou moins bien perçus selon le timbre des instruments. Le tempo, très rapide, est de 600 pulsations à la minute, chaque case grise correspondant à une pulsation. --> Cf. article p. 255-256 : "Il s’agit d’un enregistrement réalisé... en 1967, à Kampala, avec un autre musicien de cour, Albert Ssempeke, qui jouait alors avec son frère et son fils. Dans l’enregistrement, transcrit, il explique également les différentes parties de cette composition. Ssematimba ne Kikwabanga est une composition très célèbre. On ne chante pas en jouant de l’amadinda, mais j’ai quand même transcrit la partie chantée dans la figure 3. Le thème chanté, lorsque la composition est jouée par exemple à la harpe, se réfère à deux princes nommés Ssematimba et Kikwabanga, morts dans une bataille à la fin du XVIIIe ou au début du XIXe siècle. Ils étaient très confiants dans leur victoire et pensaient revenir célèbres au village. Avant leur départ, ils enjoignirent leurs compatriotes de sacrifier et de préparer des chèvres pour leur retour victorieux. Mais l’homme ne connaît jamais son destin! La composition Ssematimba ne Kikwabanga comprend deux inherent patterns, plus ou moins bien perçus selon le timbre des instruments. Le tempo, très rapide, est de 600 pulsations à la minute, chaque case grise correspondant à une pulsation. L’okunaga et l’okwawula sont joués en octaves parallèles. La transcription montre les deux principaux inherent patterns qui se dégagent de cette structure. Dans l’enregistrement, on peut entendre de quelle façon l’image acoustique se segmente pour recomposer des mélodies distinctes. Dans cette transcription, l’image acoustique totale consiste en la combinaison de tous les chiffres figurant sur les trois lignes. Dans la perception auditive, les sons sont réorganisés en deux couches selon un principe de proximité, 1 et 2 formant un premier groupe que l’attention perçoit, 5, 4 et 3 en formant un deuxième. À l’audition, l’attention peut se porter tantôt sur l’un tantôt sur l’autre..." --> Cf. Photographies p.257.
publisher 
Département d'ethnomusicologie, CNRS, Musée de l'Homme, Paris
publisher 
CREM-CNRS
datecreated
1967-11-01T00:00:00Z
dateissued
2004-01-01T00:00:00Z
coveragespatial
Ouganda
coveragespatial
Afrique orientale
coveragespatial
Afrique
coveragespatial
Ancien royaume de Buganda
rightslicense
Copie interdite
rightsaccessRights
public
formatextent
00:01:12
formatmedium
CDR
formatMIME type
audio/x-wav
relationisPartOf
http://archives.crem-cnrs.fr/collections/1113