item Item : Jeu du xylophone amadinda _29

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Value
identifier 
http://archives.crem-cnrs.fr/items/28558
identifier 
CNRSMH_E_2004_017_001_29
type 
Sound
title 
Jeu du xylophone amadinda
title 
Ssematimba ne Kikwabanga (partie okwawula)
creator 
Kubik, Gerhard
contributor 
Lortat-Jacob, Bernard ; Rovsing Olsen, Miriam (contributeurs)
contributor 
None
subject 
Ethnomusicology
subject 
Research
descriptionabstract
--> Notice CD audio p. 561 : Même pièce, partie okwawula. --> Fig. 2, p. 253 : Les deux parties encrenées de Ssematimba ne Kikwabanga (Ouganda, décembre 1959). Chaque série est redoublée à l’octave et chaque chiffre ou point correspond à une unité de pulsation (Item 28 et 29). --> Cf article p.252-254 : "La musique est ancienne et on dit que la plupart des compositions historiques étaient originalement conçues pour la harpe ennanga. Ensuite, les séries de sons sur la harpe ont été distribuées entre deux musiciens jouant du xylophone. En effet, le musicien 1 (omunazi) joue la partie de main droite du harpiste cependant que le musicien 2 (omwawuzi) joue la partie de main gauche. Sur le xylophone, les séries de base sont toujours exécutées en octaves parallèles. Les musiciens se placent en face l’un de l’autre, chacun possédant deux baguettes et jouant ses propres lames en octaves: c’est la première règle d’exécution. La deuxième est l’absence d’improvisation; ce sont des compositions fixes. On peut, bien sûr, changer l’accentuation et ainsi créer l’apparence d’une variation, mais il est très rare qu’on change quelques notes. Le musicien qui est en charge d’exécuter la série initiale, une tâche qu’on appelle okunaga en luganda («commencer à frapper, entonner»), joue sa partie en octaves parallèles. À un certain moment, mémorisé à l’avance (nous le marquons avec une flèche dans la transcription qui suit, en Fig. 2), le deuxième musicien doit entrer, encrenant sa propre série, une tâche appelée okwawula, ce qui veut dire: séparer, mettre à part, diviser (également en octaves parallèles). Le terme décrit bien de quoi il s’agit. Cette série à encrener est analogue à la série de base, bien qu’elle soit mélodiquement différente. Les pièces d’amadinda sont cycliques. L’ensemble répété fonctionne sur la base de 36 unités de pulsation (voir Fig. 2). Donc, le premier musicien commence (en octaves parallèles) avec sa série: 4.5.2.3.3.5. etc. et au moment prévu, le deuxième s’insère dans les frappes du premier, avec 5.4.3.2.4. etc. Les frappes des deux ne coïncident jamais. Dans la notation, le point signifie qu’on ne frappe pas; il équivaut aux silences de la notation occidentale."
publisher 
Département d'ethnomusicologie, CNRS, Musée de l'Homme, Paris
publisher 
CREM-CNRS
datecreated
1959-12-01T00:00:00Z
dateissued
2004-01-01T00:00:00Z
coveragespatial
Ouganda
coveragespatial
Afrique orientale
coveragespatial
Afrique
coveragespatial
Ancien royaume de Buganda
rightslicense
Copie interdite
rightsaccessRights
public
formatextent
00:00:10
formatmedium
CDR
formatMIME type
audio/x-wav
relationisPartOf
http://archives.crem-cnrs.fr/collections/1113