item Item : Yashqef Elohim mi-me'on Qodsho, Nashid de Yehoseph - Yom ezkera het'i, Shira de Joseph Ben-Moshe - Hallel :01-04

You don't have access to the media of this item. Please contact the administrators to get more rights. Click here
Title
Yashqef Elohim mi-me'on Qodsho, Nashid de Yehoseph - Yom ezkera het'i, Shira de Joseph Ben-Moshe - Hallel
Original title / translation
"Le seigneur veille de sa sainte demeure" - "Le jour où je m'appellerai mon péché"
Collector
Bahat, Avner ; Bahat, Noemi
Collection
The Yemenite jews [copie de disque]
Recording date
Jan. 1, 1976 - Dec. 31, 1977
Access type
metadata

Geographic and cultural informations

Location
Israël
Location details
Jérusalem, Centre de recherche sur la musique juive et la Phonothèque National de l'Université hébraïque
Language
Hébreu
Language (ISO norm)
Hebrew
Population / social group
Juifs
Ethnographic context
Keywords
Judaïsme, Louange, Religion

Musical informations

Generic style
Louange
Author / compositor
Yehoseph; Ben-Moshe, Joseph
Number Composition Vernacular name Interprets
4 Voix chantée : homme Amram, Aharon; Arussi, Menahem; Habshush, Aharon; Habshush, Israel

Archiving data

Code
CNRSMH_E_2003_018_001_001_04
Original code
BM.2003.015.001:01-04
Item number
:01-04
Collector selection
0
Remarks
A noter : cet item comporte trois chants :
- Yashqef Elohim mi-me'on Qodsho, Nashid de Yehoseph : ce chant «décrit la vengeance de Dieu sur les ennemis de son peuple.» (Cf. Livret de présentation)
- Yom ezkera het'i, Shira de Joseph Ben-Moshe : Chant de regret et de supplication
- Hallel
A noter : «Nashid : chant d'introduction. Sa forme littéraire est celle de la qasida (avec une rime qui revient du début à la fin). Musicalement, c'est un répons, chanté en improvisant, sur un rythme libre. Il arrive que la chanteur entonne spontanément un nashid au cours d'une réunion familiale ou amicale. L'un ou l'autre des hommes présents chantera les répons jusqu'à ce que, finalement, tous les hommes prennent part au chant. Le nashid n'est jamais accompagné, ni par un instrument, ni par des danses. C'est une sorte de prélude, analogue à l'alap indien.» (Cf. Livret de présentation)
«Shira : littéralement "chanter". Le shira est la manifestation musicale centrale de toute réunion ou cérémonie. Il est composé selon la forme poétique muwashshah (en strophes) : chaque strophe a sa rime propre, mais les derniers vers de toutes les strophes ont une rime commune, ce qui donne l'impression d'une sorte de refrain. Le shiva est dansé et s'accompagne de percussions rythmées produite en frappant des boîtes en fer blanc ou des plaques de cuivre (tsahan). Après la destruction du Temple, l'usage des instruments de musique fut interdit aux juifs. Les yéménites tournèrent cette prohibition en utilisant des instruments à percussion, qu'ils ne rangeaient pas dans la catégorie des instruments "de musique". Aujourd'hui, les moins orthodoxes d'entre eux utilisent aussi des tambours.» (Cf. Livret de présentation)
«Hallel : chant de louange, s'ouvrant par un alléluhia ("Dieu soit loué!"). De même que le nashid était une mise en train conduisant à l'extase su shira, de même le hallel procure l'apaisement. Le nashid et le hallel font office de transitions entre une monotonie de la vie quotidienne et l'intensité émotionnelle du morceau central. La danse se termine donc jamais brusquement; elle s'estompe graduellement. Quand ils ont achevé le shira, les chanteurs et les danseurs se tournent vers le public, le saluent et commencent à chanter le hallel. Il existe pour celui-ci de nombreux textes parmi lesquels on choisit en fonction des circonstances. musicalement, il diffère et du nashid et du shira, et rappelle la liturgie ou la cantilation biblique. Il se limite à deux ou trois notes chantées autour d'un recto tono continu, faisant penser à une sorte de récitation vocalisée. Le texte est en prose, basé sur des versets de la Bible, empruntés surtout aux psaumes.» (Cf. Livret de présentation)
Last modification
July 16, 2018, 4:57 p.m.

Technical data

Media type
Audio
Item size
81.5 MB