«Le charmeur de serpents, rencontré dès la Méditerranée franchie, constitue en Inde une attraction prisée des marchés et des foires. Devant les paniers où sont logés ses compagnons, il s'installe et sort sa flûte. Celle-ci a deux tuyaux : l'un donnant la ligne mélodique, l'autre la tonique. Les mouvements de la flûte aidant, le cobra déroule son corps en se balançant jusqu'à atteindre la hauteur des yeux de son maître"» (Livret du disque)