«Des rayons d'or embrasent le ciel, l'or des blés resplendit dans les champs. Peut-être, ô ma mère, le vent nous apporte-t-il son parfum? Peut-être existe-t-il une musique immortelle? Mais pour celui qu'aucun être n'attend dans sa maison, pour celui qui, dans sa vie, n'entendit aucun chant, ses souffrances lui ont fait maudire l'avenir. Cet infortuné, ô ma mère, implore votre pardon. pour moi la porte demeure close, celui qui aspirait à la musique, ô ma mère, demeur sans voix. Des rayons embrasent le ciel, l'or des blés resplendit dans les champs. Pourquoi en un tel jour de fête mon être entier crie-t-il au désespoir?.» (Pochette)