«Une fileuse pauvre travaille dans sa hutte, au rythme de son chant. Brusquement, la tempête s'élève et menace d'emporter la cabane; surmontant sa peur elle ouvre la porte et défie l'ouragan.»
«Vole, vole mon étoupe; Ô esprit léger, oublie, maudis et vole. Vois, maintenant gronde la tempête et ma pauvre hutte va être détruite. Je me mesurerai avec le diable. Je saurai, qui dans cette tempête, sera le plus courageux, la poussière ou toi, mon étoupe; aussi, vole mon coton, vole!» (Pochette)