A l'occasion du mariage de Willy Pong Masak et de Sarungallo. En fait, normalement chanté autrefois dans le rite de transe appélé ma' bugi', rituel conjuratoire visant à repousser l'ennemi (la maladie, l'envahisseur). Ici, il y a tout de même un officiant to minaa, Ne' Ruli, qui donne les vers à chanter.