Institut de la Littérature russe, Académie des sciences de l'URSS
contributor
Collaer, P. (déposant)
contributor
- Déposant
subject
Ethnomusicology
subject
Research
descriptionabstract
Le poème est du premier poète nanaï A. D. Samara et date de 1938 (il fut tué au front en 1942 à l'âge de 26 ans. Ces vers sont devenus populaires).
traduction du texte :
"Quand on regarde en amont d'Amour
On voit l'embouchure du Soungari.
Quand on regarde en aval d'Amour,
on voit l'embouchure de l'Amgoune.
C'est le bassin du fleuve d'Amour
La contrée où je suis né.
C'est la terre où j'ai grandi,
La contrée du peuple nanaï.
Les richesses de ma contrée sont inépuisables.
Cinquante six perches en profondeur ne suffisent pas.
dépense tant que tu veux,
Tu n'épuiseras pas les réserves de ma contrée. (Cf. p. 135)
Traduit par Prof. A. P. Poutintseva
Par ailleurs, le texte de cette chanson fait allusion aux changements survenus en Sibérie dans la situation sociale. Ce texte, s'il contient une part de poésie populaire, a de toute évidence été remanié par le chanteur sous l'influence de la propagande politique. Toutefois, la mélodie reste traditionnelle.
publisher
None
publisher
CREM-CNRS
datecreated
1955-01-01T00:00:00Z
coveragespatial
Sibérie
coveragespatial
Fédération de Russie
coveragespatial
Asie
coveragespatial
Enregistré à Leningrad
rightslicense
Restreint
rightsaccessRights
public
formatextent
00:01:23
formatmedium
Bande(s) Magnétique(s) ; Ø 18 cm ; v. 19 cm/s ; Pleine piste , Mono