Lortat-Jacob, Bernard ; Rovsing Olsen, Miriam (contributeurs)
contributor
None
subject
Ethnomusicology
subject
Research
descriptionabstract
--> Notice du CD audio p. 559 : et non pas celle, polyphonique, propre à la sanza. On pourra s’en convaincre en la comparant avec l’exemple suivant (ici # 14). Cf. Item précédent pour le début de la phrase.
--> Cf article p. 130-131 : "Dans le répertoire de la harpe-cithare, bonde ko be hoyo se trouvait associée aux chants de guerre (gima biro) et ne s’adressait non pas à l’orphelin «d’occasion», à celui qui a perdu ses parents par hasard et que l’on pleure (au vrai sens du terme), mais à celui privé de ses proches à la suite d’un conflit armé entre clans, ou bien, plus récemment, d’un affrontement avec l’envahisseur européen. Ainsi, ne s’agissait-il pas d’un chant mais, en réalité, de lamentations, ce qui explique l’existence, dans la partie chantée, des pleurs des personnes présentes. On retrouve ces pleurs dans la version à la sanza où la mélodie soliste ménage toujours une partie silencieuse qui leur est réservée".
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Département d'ethnomusicologie, CNRS, Musée de l'Homme, Paris