Kong Nay évoque son jeune frère Kong Lene qui l'aidait à survivre pendant sa captivité sous les Khmers rouges, prenant soin de lui, et qui disparut un beau jour. Lorsque ce chant fut composé, Kong Nay ignorait encore que son frère avait été enlevé, torturé et exécuté par les Khmers rouges.