Item : Danse de frata CD1_18
|
Dublin Core Metadata
- identifier
- http://archives.crem-cnrs.fr/items/17233
- identifier
- CNRSMH_E_1998_017_001_001_18
- type
- Sound
- title
- Danse de frata
- creator
- Bouët, Jacques ; Lortat-Jacob, Bernard ; Radulescu Speranta
- contributor
- Zemp, Hugo et al.
- contributor
- Zemp, Hugo
- subject
- Ethnomusicology
- subject
- Research
- descriptionabstract
- CD.I Europe / Roumanie "L'ensemble instrumental est constitué de deux violons, d'un alto à trois cordes et d'une contrebasse. Dans le texte scandé, le chanteur fait l'éloge de la belle danse et du jeu plaintif du violoniste Sandor. Les musiciens semi-professionnels qui l'accompagnent harmonisent la mélodie en utilisant exclusivement des accords majeurs. Le rythme, confié aux instruments d'accompagnement (contrebasse et alto) est lent et asymétrique, de type aksak - mot turc, signifiant « boiteux » que les ethnomusicologues utilisent désormais pour ce type de rythme ; il se décompose en 3+4+4+4. Sur cette base rythmique très stable, les deux violonistes développent un jeu très orné, spécifique du style de la plaine de Transylvanie. La forme musicale est à quatre parties, liées les unes aux autres dans une sorte de continuum thématique et groupées en des strophes régulières de 25 secondes environ. Ces strophes musicales sont reprises autant de fois que l'exigent la règle de la danse et le plaisir des danseurs. Danse : La musique de danse de la Plaine de Transylvanie a pour particularité d'être organisée en suites enchaînant plusieurs danses de couple dans un ordre donné (à l'exception des danses en solo dites târnavene, qui peuvent s'intercaler librement au sein des suites ou même être exécutées séparément). La purtata est la partie initiale de la suite, laquelle comprend un ensemble plus ou moins fixe de danses qui s'enchaînent sur des tempi de plus en plus rapides. C'est une sorte de prélude durant lequel les danseurs font au ralenti des figures qui seront ultérieurement reprises sur des tempi plus vifs. La première partie d'une purtata est dite de preumblat (litt. « de promenade ») à laquelle s'enchaîne [à partir de 4'21] une partie de învârtit (tournoyée) où le cavalier fait tourner sa cavalière tout en faisant des ponturi (figures chorégraphiques sautées, où l'homme frappe ses pieds latéralement avec ses mains). En dehors de ces moments de virtuosité, la purtata est surtout destinée à mettre en valeur le maintien et le port de la danseuse." Jacques Bouët, Bernard Lortat-Jacob, Speranta Radulescu, cf p.51 du livret
- publisher
- Le Chant du Monde, Paris
- publisher
- CREM-CNRS
- datecreated
- 1990-01-01T00:00:00Z
- dateissued
- 1998-01-01T00:00:00Z
- coveragespatial
- Transylvanie
- coveragespatial
- Roumanie
- coveragespatial
- Europe orientale
- coveragespatial
- Europe
- coveragespatial
- Urmenis (Bistrita-Nasaud)
- rightslicense
- Restreint (enregistrement édité)
- rightsaccessRights
- public
- formatextent
- 00:07:48
- formatmedium
- CD-Livre
- formatMIME type
- audio/x-wav
- relationisPartOf
- http://archives.crem-cnrs.fr/collections/4710