Troisième mîzân : btâyhî
[1] Bughya et tûshiya
[2 à 8] San°a 1 à 7
Btâyhî, san°a 5
"Par Dieu, ô médecin de l'amour,
prends ma main car la maladie me fait fondre.
Ôte cette camisole de souffrance
de mon corps endolori.
Le feu de la passion la plus violente
a pris dans mon cœur et s'en nourrit.
D'ici que l'amour révèle mes secrets,
mes larmes couleront toujours."