Puisque te voilà encore éveillé mon ami,
Livrons-nous au plaisir de l'amour et du vin
Ne vois-tu pas la rivière du matin débordant les armées de ténèbres ?
Quand le nuage pleure sa rosée les fleurs sourient,
Et tandis que le pré se pare d'un nouvel habit,
Le chant de l'oiseau accueillant le matin nous éveille.