Le plein succès de la marïnga remonte à une cinquantaine d'années et il faut faire appel aujourd'hui aux musiciens et aux danseurs qui la pratiquaient alors pour entendre ses rythmes empruntés à des fandangos, des polkas, des scottisch, ses airs à des hymnes protestants ou des marches militaires; ses sujets à un quelconque évènement local,passé ou d'actualité. Telle cette marche sur la route de Fougamou à l'époque où les banjos étaient paraît-il nombreux dans la région, où le passage à Libreville de H. Pepper.