Kombokombo : nom d'un bois léger qui flotte, chant "magique" qui se chante avant les rapides dangereux, avec une cadence très lente. On souhaite que la pirogue flotte ausi bien que le kombokombo dans les tourbillons et ne coule pas. Chants enregistrés avec l'équipage (les pagayeurs) à terre. Ces chants accompagnent la navigation sur le fleuve et sa cadence.
Chant solo et choeur d'hommes. Pendant ce chant, les chanteurs se frottent le coude gauche avec l'index droit. Source : indications du cahier de notes de terrain, G. Rouget (p.288-289).
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Archives sonores, Département musique du Musée de l'Homme, Paris