item Item : Mugam Mirza Husayn Segah _01

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Value
identifier 
http://archives.crem-cnrs.fr/items/16552
identifier 
CNRSMH_E_1994_010_004_001
type 
Sound
title 
Mugam Mirza Husayn Segah
creator 
Simonin, Pierre (ingénieur du son) ; Bois, Pierre (ingénieur du son)
contributor 
contributor 
Trân, Quang Hai 94
subject 
Ethnomusicology
subject 
Research
descriptionabstract
Le Mugam Mirza husayn segâh appartient à la famille des Mugam segâh (5). Il se chante cependant une quarte plus haut que le mode segâh de référence et l'enchaînement des modulations est différent de ceux des autres Mugam de la même famille. - Daramad, introduction instrumentale. - Premier ghazal dans le mode manande mukhalif Modulation dans le mode segâh sur la tonique la et exploration du maye, le "coeur" du mode (cf. livret du disque). - Chant mesuré tesnif - Deuxième ghazal dans le mode zil segâh (segâh dans le registre supérieur) - Intermède instrumenal reng - Suite du ghazal - Intermède instrumental reng - Suite du ghazal dans le mode mübarriga (cf. livret du disque) - Intermède instrumental reng - Ayagh, cadence. Premier ghazal "Ma bien-aimée, qui t'invitera ? Dis-moi, de qui es-tu digne ? Ce soir, une ombrelle d'ambre épargne ton visage, De qui seras-tu la reine ? Tu es plus douce encore que le sucre, Ô charmante, qui est le bienheureux auquel tu donneras la vie ? Dans les ténèbres de la nuit, ô chandelle de lumière, protège-toi du mauvais oeil Ô toi, Eau de vie, de qui seras-tu la bien-aimée ? Te voilà loin, comment Nizami supportera-t-il la séparation ? Car celui qui souffre te le demande : "De qui seras-tu le remède ?" Nizami (1140-1209)" Tesnif "Je suis descendue à la fontaine, Et là j'ai rencontré l'amour. Moi qui en ignorais tout, Il m'a prise dans ses rêts. Approche mon aimé, que je puisse t'adorer. L'étoile ne peut devenir lune. L'été ne peut précéder le printemps. Il n'est point de beauté Qui éclipse celle de l'aimé". Deuxième ghazal "L'amour une fois encore a détruit ma retraite de pénitent. L'amour et le vin m'ont fait rompre le jeûne. Voici que la passion allume un feu nouveau en moi. Tels un mirage m'apparaissent ensemble le soleil et Vénus. Ce feu qui lèche tous les coeurs, pourquoi N'embrase-t-il que le mien ? Son regard brûlant me disait : "Je suis à toi, patiente !" Patient je le suis, mais c'est la vie qui se hâte. L'amour ne parvient pas à anéantir Nizami, Et pourtant ne serait-ce pas la meilleure des choses ?" Nizami (1140-1209) (5) Cf. notamment le Mugam Khârej Segâh interprété par Hâji Bâbâ Huseynov, CD Inédit
publisher 
Inédit, Maison des Cultures du Monde, Paris
publisher 
CREM-CNRS
datecreated
1992-01-01T00:00:00Z
dateissued
1993-01-01T00:00:00Z
coveragespatial
Azerbaïdjan
coveragespatial
Asie occidentale
coveragespatial
Asie
coveragespatial
rightslicense
Restreint (enregistrement édité)
rightsaccessRights
restricted
formatextent
00:15:44
formatmedium
CD, Ø 12 cm, Stéréo
formatMIME type
relationisPartOf
http://archives.crem-cnrs.fr/collections/4276