item Item : Jeu du xylophone amadinda _31

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Property Value Unit
Title
Jeu du xylophone amadinda
Original title / translation
Ssematimba ne Kikwabanga (Toutes les parties)
Collector
Kubik, Gerhard
Collection
Musique et Anthropologie [Disque encarté], revue L'Homme, n°171-172, 2004
Recording date
Nov. 1, 1967 - Nov. 30, 1967
Access type
full

Geographic and cultural informations

Location
Ouganda
Location details
Ancien royaume de Buganda
Population / social group
Ganda
Ethnographic context
--> Notice CD audio p. 562 : Ensemble des parties de Ssematimba ne Kikwabanga et ses inherent patterns.
--> Cf. Fig. 3 p. 265 : Transcription de la composition Ssematimba ne Kikwabanga – plages 31 et 32 – comprenant deux inherent patterns, plus ou moins bien perçus selon le timbre des instruments. Le tempo, très rapide, est de 600 pulsations à la minute, chaque case grise correspondant à une pulsation.
--> Cf. article p. 255-256 : "Il s’agit d’un enregistrement réalisé... en 1967, à Kampala, avec un autre musicien de cour, Albert Ssempeke, qui jouait alors avec son frère et son fils. Dans l’enregistrement, transcrit, il explique également les différentes parties de cette composition. Ssematimba ne Kikwabanga est une composition très célèbre. On ne chante pas en jouant de l’amadinda, mais j’ai quand même transcrit la partie chantée dans la figure 3. Le thème chanté, lorsque la composition est jouée par exemple à la harpe, se réfère à deux princes nommés Ssematimba et Kikwabanga, morts dans une bataille à la fin du XVIIIe ou au début du XIXe siècle. Ils étaient très confiants dans leur victoire et pensaient revenir célèbres au village. Avant leur départ, ils enjoignirent leurs compatriotes de sacrifier et de préparer des chèvres pour leur retour victorieux. Mais l’homme ne connaît jamais son destin!
La composition Ssematimba ne Kikwabanga comprend deux inherent patterns, plus ou moins bien perçus selon le timbre des instruments. Le tempo, très rapide, est de 600 pulsations à la minute, chaque case grise correspondant à une pulsation. L’okunaga et l’okwawula sont joués en octaves parallèles. La transcription montre les deux principaux inherent patterns qui se dégagent de cette structure. Dans l’enregistrement, on peut entendre de quelle façon l’image acoustique se segmente pour recomposer des mélodies distinctes. Dans cette transcription, l’image acoustique totale consiste en la combinaison de tous les chiffres figurant sur les trois lignes. Dans la perception auditive, les sons sont réorganisés en deux couches selon un principe de proximité, 1 et 2 formant un premier groupe que l’attention perçoit, 5, 4 et 3 en formant un deuxième. À l’audition, l’attention peut se porter tantôt sur l’un tantôt sur l’autre..."
--> Cf. Photographies p.257.

Musical informations

Number Composition Vernacular name Interprets
Xylophone Albert Ssempeke ; Albert Bisaso ; Ludowico Serwanga

Archiving data

Code
CNRSMH_E_2004_017_001_31
Item number
_31
Remarks
Se référer à l'article : "Inherent patterns. Musiques de l’ancien royaume de Buganda : étude de psychologie cognitive" par Gerhard Kubik, p. 249-266.
Annexe et bibliographie en fin d'article. Photographies noir et blancs de Moya A. Malamusi. Enregistrements de Gerhard Kubik, à l’exception du premier de la série (N°27), qui a été réalisé par Moya A. Malamusi.
Last modification
Feb. 14, 2013, 3:18 p.m.

Technical data

Media type
Audio
Item size
19.8 MB